Histoire d'un commencement...

Pour une fois je me retrouve seul dehors. C'est en plein été il fait encore chaud, malgré l'heure tardive. Il ya une légère brise, qui, au contact de ma peau me fait frissonner. Un petit sourire s'échappe, c'est très agréable comme sensation. Ma marche continue sans destination précise, pouvoir errer, se laisser porter par les douce caresse de cette brise que j'affectionne. Quand j'avançais, la nuit me suivait. La lune avait atteind son zenith.
Le quartier ou j'avais l'habitude de m'aventurer, était rempli de petit commerce, mais à cette heure seuls quelques restaurants restaient ouverts, avec quelques clients que l'on pouvaient entendre emettre un léger bruit de foule. L'ambiance du bar avait l'air plutot chaleureuse. Je decidai donc de m'y installer provisoirement pour me désalterer un peu.
Aux tables, il y avait majoritairement des couples,étant moi-même avec quelqu'un, un petit peu de nostalgie est venue attrister ma soirée. Mais ce ne fut qu'un court instant. En effet, mon aimée n'habitant pas dans la même ville, difficile de pouvoir se voir régulierement.
Sur ceux je decidai donc de m'assoir sur un des tabourets du bar, très confortable par la même occasion. Un serveur pris ma commande. En attendant mon rafraichissement, je jettai un coup d'oeil sur les personnes qui etaient accoudées au bar. Il y avait environ 7 personnes. Trois se connaissaient, deux autres se rajoutaient aux couples précedent, un autre type, surement un habitué vu la taille et la couleur de son nez. En dernier,et en bout de table une femme d'une trentaine d'année en apparence, qui ne laissait paraitre aucun sentiments sur son visage. Moi qui ait pour habitude de lire les expressions du visage, je fut intriguer. Aucune tristesse, aucune joie, aucune angoisse, plus je la regardais et plus j'avais l'impression d'être "attiré". A ce moment, nos regards se croisèrent mais là encore elle ne laissa rien paraitre. Je pris la consommation que j'avais commander avec moi, et m'approcha de cette jeune femme qui retenai mon regard. Son teint etait plutot pâle, peut-être avait-elle trop bu? Je decidai d'engager un discussion.
A peine ai-je engager la discussion, elle m'arreta en me fesant comprendre que le bruit l'empechai d'entendre correctement. Nous sommes donc sortis.
Dehors toujours la même brise, fidèle, qui m'entourait comme un manteau. C'est par cela que ma discussion commença. La jeune-fille n'avait pas l'air de partager cette sensation. Enfin, comme si elle essaiyait mais qu'elle n'y arrivait pas. Ce qu'elle me confirma oralement l'instant d'après. Je commençai donc a la questionner sur le pourquoi de la chose. Accident peut-etre? Elle me répondit que certaine choses ne pouvaient pas forcement être expliquer. Je fis en sorte qu'elle essaie de pousser son raisonement jusqu'au bout. A ce moment, elle s'approcha de moi, pris ma main, en me regardant dans les yeux intensement.
Sa main était glacée, plus elle s'approchait de moi plus je me rendis compte qu'elle était dépossédée de chaleur corporelle. En gentleman, je la serra contre moi, pensant qu'elle avait simplement froid. Elle posa sa tête contre mon épaule, et me sussura qu'elle allai me faire aimer la nuit, et seulement la nuit. Je sentis ses bras me serrer plus fort encore.
A cet instant, je la sentit me mordre le cou, la aussi de plus en plus fort jusqu'au moment ou ma peau se mis à lacher sous la pression de sa machoire. La douleur fut tellement brève qu'elle paraissai inexistante. En même temp, plus elle me mordai plus j'y ressentai un plaisir énorme.
Un autre sentiment m'envahi, celui de mon sang qui s'enfuyai en même temp que mon humanité comme aspiré par la jeune-femme. Elle me lacha. Je fis un brusque pas en arrière et chuta.

L'inspiration il ne faut pas en abusé et la laisser se renouveller. J'espere que le début de mon histoire vous a plu et vous met en haleine pour la suite. En esperant encore que j'aurai quelques commentaires sur le début de cette histoire.

Bon jeu

Suite:


Une fois à terre, je me sentis faible, extremement faible. J'étais vidé de l'interieur. Ma tête semblait peser le double de son poids habituel. Exactement, comme un lendemain de fête trop arrosée. J'agonisait au sol, mais au fur et à mesure mon agonie se resentais moins. Si seule l'agonie s'enfuyais j'en aurai été heureux. Mais, avec l'agonie s'enfuyais la douceur de la brise. Mon sens du toucher s'évanouissait, je ne ressentais plus tout ce qui pouvait avoir un quelquonque contact avec ma peau. Mon coeur c'était arreté de battre, la tritesse m'envahie, même les larmes qui pourtant coulaient à flots sur mon visage, je ne les sentais plus. La chaleur, qu'elles dégageaient habituellement, était absente. Au bout d'un moment, plus rien ne se fit ressentir. Tous les mucles que je contractait de douleur, se mirent à se relacher. La jeune-femme se raprocha de moi, s'ageanouilla et installa ma tête sur ses genoux.
J'eu l'impression d'être redevenu enfant. Comme si ma mère était venu me reconforté après un cauchemard. Je laissai mes paupières se fermer. La jeune-femme me caressait les cheuveux, sans un mot. Je succomba au sommeil.
Pendant ce sommeil, d'étranges rêve firent leurs apparition. Un, me perturba particulièrement.
Dans ce rêve, je me trouvais debout sur un pont, au dessus d'un petit fleuve comme prêt a sauter. Par peur de la hauteur, je me retournai. Seulement, dans mon dos se trouvait cette même jeune-femme qui m'avais mordu. Elle me regardait avec un air tendre, qui se tranformait petit à petit en regard haineux. Un regard qui paraissait être celui du diable en personne! Elle se mit à sourire. Celui-ci fit apparaitre la dentition anormalement constitué de cette inconnue. Ces cannines... Si effrayantes, et intriguantes à la fois. Le fleuve en dessous semblait de plus en plus agité. Avec l'agitation, le fleuve pris une autre couleur. ce bleu si pure qu'il possédait avant, fut remplacé par un rouge sang. Un hurlement se fit entendre, tellement persant que je me mis à genoux les mains sur les oreilles pour calmer le bruit. En même temp, je fermis les yeux. Et là, plus rien. J'était dans l'obscurité, plus rien autour de moi. Seules mes mains qui étaient couvertes de sang, ce même sang que je m'empressa de lécher. Quelle sensation! Comme si mes forces me revenaient. Une voix retentit. Mon sommeil fut brusquement stoppé.
La nuit était toujours présente, la lune m'éclairai le visage. J'étais allongé dans une petite ruelle. Plus personne autour de moi. Mes membres, ma vue, mon ouïe, tout était plus affutés. C'est à ce moment précis que ma conscience me guida, petit à petit, à reveiller mes instincts meurtrier, bestiale. Chaque secondes qui passaient, m'emplissaient d'une envie de combler cette soif, soif de sang. Le bar n'avait toujours pas fermé ses portes il restait une petite dizaine de clients pour la plupart saoûls. Le temp, d'épouster ma veste. Je repartis en direction du bar...

Et voilà la seconde partie, en esperant qu'elle vous plaira tout autant. Pour ces deux première parties j'ai essayé de bien mettre en avant la transformation du personnage. Si vous avez des suggestions, (passage un peu long, descirption plus poussée, fautes d'ortographe ...) n'hésitez surtout pas. Merci à ceux qui prennent la patience de me lire.

Bon jeu

Suite (2):

Plus je m'approchais du bar, plus je décernais une odeur nouvelle, étrange. Réflexe habituel, je me mis à me renifler. C'est une odeur que je ne possedait pas. Au moment ou j'allai relever la tête, deux personnes bras dessus bras dessous passèrent à mes cotés c'est la que l'odeur apparu plus forte que jamais, je n'en n'était pas encore sûr mais il me semblais que c'était celle de la Chair. Mais pourquoi? Pourquoi cette odeur se mit à apparaitre? Trop de changement, trop de choses nouvelles. Je n'en finissai plus de me poser des questions. Jusqu'au moment où, mon instinct repris le dessus.
Mes yeux étaient rivés sur le bar, ou plutôt sur ses clients. Habituellement, mon coeur se serait mis à battre, ma chaleur corporelle aurait augmenté. Mais dans ce cas présent, rien. J'avais juste des souvenirs mais plus de sensations ou de sentiments. Je sentis que pour retrouver une quelquonce sensation se serait en... Qu'est ce que j'étais en train de penser? Je ne me sentais plus moi-même, perdu au milieu d'un dédale qu'imposait mon cerveau. En cherchant vainement une sortie à ce labyrinthe, ma tête me semblait de plus en plus mal en point. Comme si deux partie de moi se battais à l'interieur. Puis, une des deux parties l'emportant sur l'autre, je commençais a m'élancer vers les clients du bar avec toute la férocité possible. A peine ai-je eu le temp de m'élancer, qu'une ombre furtive et rapide se glissa dans le bar. Un seul cri eu le temp de retentir.
En quelques, instant des effusions de sang jaillirent du bar, s'étalla avec violence sur les vitres. L'ombre se figea, pour se transformer en silhouette. Je fus paralysé par cette action si soudaine et si violente en même temp. Mon coté humain reprenais le dessus, je le sentai de part la peur que j'ai eu sur le moment, mais pas de dégout par la suite mais plutôt une grande satisfaction de voir tout ce massacre. Des nuages disparurent pour laisser place à quelques rayons de lune. On aurai dis qu'il étaient placés exprès sur la silhouette qui se découvrait peu à peu.
Une coupe plutôt courte, les épaules maculées de sang, une main pourvu d'ongle assez longs, et un sabre qu'il rangea dans son fourreau aussi rapidement que même un ralenti n'aurai pas suffit a décrypter le mouvement. La tête de l'étrange personnage se mis de profil il posa son regard sur moi très lentement, emis un sourire aussi grand que deux machoires, les dents étaient de tailles démesurées, les cannines étaient tellemnt pointues qu'elle en paraissaient tranchantes. Il essuya son sabre avec sa lague qu'il fourchait. Il tourna la tête et s'en alla comme si l'ombre l'engloutissait.
Mes yeux dérivèrent sur le bar ou je vis toute la "nourriture" devant moi. Ca y est je compare mes congénères à un garde-manger. Cette fois mon instinct ne me laissa pas de répis, mes mains tremblaient, mes lèvres étaient contractées comme pour laisser mes cannines sortirent. En un instant, j'était en train de délecter ma premiere victime...

Suite (3):

J'étais maculé de sang. Chaque goulée de ce sang frais, était pour moi comme une rennaissance. Enfin je retrouvais des sensation, qui me fesais palpité. J'en voulais encore et encore. Je suis donc passé à un autre des cadavres, puis un autre, puis un autre... Une fois que je croyais être rassasié, je voulut tester les pouvoir vampirique qu'il existaient comme on le racontaient dans les contes, et histoires diverses. J'avais limpression que je n'avais plus de respiration à prendre en courant, mes pas étaient aussi léger que l'air, la discretion et la rapidité à laquelle je me déplaçait était plus qu'étonnante. Je passais en frolant les gens, il ne ressentaient rien. Pour le plaisir je décidai de suivre quelqu'un.
C'était un quadragénaire, qui marchait seul. A un coin de rue sombre ou il décida de tourner. Je me faufila devant lui. Quand il eu pris le virage je lui attrapa la tête et l'ammena contre moi. Malheureusement, son corp arriva trop vite sur moi, il se cogna contre mon torse et mes mains tirant sur la tête, la décrochère du corp. Sur le moment surpris avec quel facilité la tête se décrocha, puis je mis à rire jusqu'a n'en plus pouvoir. Tout d'un coup ma tête me fit soufrir énormement, anormalement. Je sentais comme quelqu'un ou quelque chose, qui m'empèchais de bouger.

Qu'est ce qui m'arrivais? J'étais en train de rire alors que je venais de faire un meurtre. Je ne me sentais plus moi-même. Pourquoi étais-je maculé de sang? Qu'est que je fesais dans cette rue. A la vue de tout ce sang mon estomac se retourna, et en tombant dansle caniveau je me mis à vomir. C'était difficile, ça brulais énormement, je ne vomissai que du sang. Mais comment pouvais-je distinguer cela? La ruelle aurait été trop sombre en tant normal. Il fallai que je rentre chez moi, sur la route je ne marchai pas droit. J'évitais les coins de lumière, pour ne pas me faire remarqué, je buttai violement les murs. Heureusement la maison n'était qu'a quelques pas.
Une fois chez moi, j'enlenvai mes vètements couverts de sang. J'avais faim je me ruai dans la cuisine. En ouvrant le frigo, je tombe sur un steack. Je les aime bien saign... Peut-être pas une très bonne idée. Finalement, je vais laisser mon ventre se remettre de ses émotions. En m'allongeant sur le lit, mes yeux se fermèrent tout seul, j'était trop épuisé. En dormant, je fis un rêve familier...